
“La perte de Donald TRUMP est centrée sur une campagne sans précédent qui s’est déroulée à l’ombre de la pandémie de coronavirus, qui, selon les décomptes du département sanitaire américain, a infectée près de 10 millions de personnes et tué plus de 239,000 mille”, note l’Ambassadeur Hugues SANON, indiquant que la gestion de coronavirus en est un handicap majeur pour sa réélection. “Sans la Covid 19 et la façon dont monsieur TRUMP l’a géré, il aurait été probablement réélu. Et ce serait une grande surprise pour le peuple américain et tout le monde entier”, estime le Représentant Spécial du Conseil pour la Justice, Égalité et Paix (COJEP) aux Nations-Unies.
Donald TRUMP est très populaire aux États-Unis.
Le résultat des votes obtenus par le locataire de la Maison Blanche témoigne sa popularité et ce dernier jouit de la mentalité des citoyens américains se disant que l’Amérique n’est pas encore prête pour qu’une femme la dirige, souligne monsieur SANON dans ses réflexions, reconnaissant toutefois les discours divisibles, racistes et belliqueux du milliardaire new-yorkais. Aux États-Unis d’Amérique, on rencontre des femmes nommées juges, élues sénateurs et Députés… Alors, l’Humaniste de renom et vice-president francophone de l’organisation mondiale du development durable, Hugues SANON, se demande s’il s’agit, peut-être, de cette idée discriminatoire que les Américains ont choisi Donald TRUMP au lieu de madame Hillary CLINTON quatre années de cela.
Par ailleurs, la mort de Georges FLYORD à Minneapolis ayant drainé derrière elle des mouvements de protestation très violente, a gagné plusieurs villes américaines dont des dégâts considérables y ont été enregistrés. Cette situation révoltante a bel et bien joué contre le Président républicain sortant qui, d’alors, menaçait de déployer la Garde nationale et/ou l’Armée pour réprimander les protestataires, majoritairement afro-américains. Ce qui a permis à son rival de gagner des points importants et de se revitaliser face à ses électeurs, selon l’intellectuel Hugues SANON d’origine haïtienne. À cela s’ajoute l’entrée en jeu de l’ancien Président Barack H. OBAMA qui allait épauler son ancien vice-président à deux (2) reprises à la course présidentielle.
Donald TRUMP va-t-il concéder le pouvoir au Président élu Jœ BIDEN?
À première vue, le Président Donald TRUMP n’a pas à concéder maintenant ou jamais, aussi, selon les lois électorales américaines. Monsieur TRUMP peut contester l’élection et porter les accusations de fraudes électorales par devant les Tribunaux compétents, s’il a des preuves tangibles pour supporter ses allégations, rétorque le diplomate, rappelant en l’année 2020, qu”il a fallu quarante-deux (42) jours avant que le candidat démocrate, Al Gore, ne concède finalement face son concurrent républicain, Georges Walker Jr. BUSH. Selon Mr. Hugues Sanon, les Tribunaux américains ne vont pas annuler une élection sous prétexte qu’un (e) candidat (e) n’aime pas le résultat. Il ajoute pour dire qu’un Juge doit y avoir des raisons impérieuses et des preuves raisonnables que quelques choses d’illégales se sont produites.
Aussi, faut-il souligner que, sur les quarante-trois (43) chefs d’État ayant précédé Donald TRUMP à la présidence américaine, trente-cinq (35) ont volontairement cédé le pouvoir sans aucun problème quand leur limite de leurs deux (2) mandats a expiré ou, du moins, quand ils ont perdu leur réélection; huit (8) sont morts et un (1) a remis sa démission.
Le président élu Joe Biden montre son intention d’entrer à la Maison-Blanche, en lançant dimanche dernier un site Web de transition décrivant les priorités s’accordera son administration qui sont la “Covid 19”, «la Restauration du leadership américain», la relance économique, l’équité raciale et le changement climatique. pour sa part Donald Trump a déclaré “qu’il ne se reposera pas tant que le peuple américain n’aura pas obtenu le décompte honnête qu’il mérite et que la démocratie exige”, ajoutant que, la bataille juridique contre la “fraude electoral” commencerait sérieusement ce lundi, et ceci, bien que son beau-fils, Jared Kushner, a tenté de le convaincre de concéder l’élection. Rudy Giuliani, ancien maire de New York et avocat personnel du président Trump, a déclaré dimanche que Donald Trump ne devrait pas concéder l’élection au président élu Joe Biden. Il a ajouté «qu’Il y a des preuves solides que ce fut une élection que dans au moins trois ou quatre États, et peut-être 10, elle a été volée», «en d’autres termes, l’election était basé sur de faux votes. Désormais, vous ne pouvez pas laisser une élection entrer dans l’histoire sans la contester. »
Aujourd’hui, Je veux éclairer lanterne de nos internautes sur une question très importante qui mérite une réponse claire: que se passe-t-il si Donald Trump refuse de quitter physiquement la Maison-Blanche?
A premiere vue, Président Donald Trump n’a pas à concéder maintenant ou jamais, aussi,
selon les lois électorales américaines, Donald TRUMP peut contester l’election et porter les accusations de fraudes électorales par devant les Tribunaux compétents, s’il a des preuves pour supporter ses allegations.
Rappelons en l’année 2000, qu’il a fallu 42 jours avant qu’Al Gore ne concède finalement.
Mais, il est á noter que les tribunaux n’annulent pas une election parce qu’un candidat n’aime pas le résultat. Un juge doit y avoir des raisons impérieuses et des preuves raisonnables que quelques choses d’illégales se sont produites. Alors, pour cela, la campagne Trump devrait montrer qu’il y a quelque chose d’illégale dans la façon dont les votes sont comptés.
Maintenant, Il est bon de savoir que, sur les 43 chefs d’états qui ont précédé Donald Trump à la présidence américaine, 35 ont volontairement cédé le pouvoir sans aucun problème quand leur limite de deux mandats a expiré ou du moins, quand ils ont perdu une élection, Huit sont morts et un a démissionné.
Donald Trump serait-il le seul à ne pas vouloir céder le pouvoir?
Que dit la Constitution? Maintenant, selon le 20e amendement de la Constitution des États-Unis qui établit le début et la fin des dates des élections présidentielles, Donald TRUMP perd son mandat présidentiel le 20 janvier 2021 à midi et, s’il essaie de rester après cela, les gardes chargées de le protéger doivent le faire l’expulser de la Maison Blanche, selon les règlements internes. Aussi, que TRUMP assiste ou non à la cérémonie de l’inauguration de Joe BIDEN, cela n’aura aucune importance pour le transfert de pouvoir, sinon, la Maison-Blanche ne lui appartient plus. Aussi, il perdrait également des modes de transport privilégiés tels que l’Air Force One et sa limousine emblématique et fortifiée, dénommée” la bête”. Ce processus de transition est automatisé. Il n’y a pas de décision personnelle à faire soi-même. Car, fondamentalement, les choses se produiront
systématiquement.
C’est à dire, Donald TRUMP perd également son statut de Commandant en chef. À ce stade, il n’aura aucune autorité en ce qui concerne les forces armées américaines. Maintenant, s’il dit qu’il ne quittera pas physiquement la Maison-Blanche, ce qui serait sans précédent, les agents des services secrets, le retireront physiquement.
Finalement, quand Joe BIDEN, avance l’analyste Hugues SANON, est officiellement certifié vainqueur lors de la session conjointe du Congrès le 6 janvier, il sera officiellement Président des États-Unis. Une fois prêté serment le jour de l’inauguration, le pouvoir lui sera transféré, et il aura l’Air Force One, limousine emblématique et fortifiée, dénommée” la bête et en fin le code nucléaire.
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